Je voulais encore une fois parler d'un sujet d'actualité avec toi: vacciner les joueurs de hockey en priorité.
J'en parle sur mon blogue en français, et je vais le citer plus bas, mais je tiens à ajouter que moi, je ne m'y soumettrai pas.
Trop de niaiseries dans la liste d'ingrédients inactifs (au nombre de crevettes que je mange par semaine, j'ai ma dose de mercure, merci quand même!), actifs (youppi, un adjuvant, juste quand on sait que cette souche particulière de la grippe aime particulièrement les systèmes immunitaires renforcés!) - sans compter que le vaccin a plutôt été conçu pour la grippe H5N1 (la grippe aviaire, pas porcine, ce qui revient à regarder l'Orange Mécanique au lieu de Peau De Banane), ni qu'il n'a pu bénéficier des 2 à 5 ans habituellement requis de tests avant sa mise en marché.
Oh, et aussi parce que le manufacturier principal, Glaxo-Smith-Klein, ou GSK pour les intimes, est un de mes anciens clients pharmaceutiques chez Head - un christ de croche à part ça, côté éthique.
Tout ça pour mener au sujet du jour.
Comme je le dis dans mon texte, Réjean Tremblay approuve, Patrick Lagacé pas.
Et mes arguments:
Les raisons contre, elles sont faciles à trouver: égalités sociales, soigner les plus à risques point-de-vue santé en premier (les enfants, les asthmatiques graves, la veuve et l'orphelin).Curieux de connaître ton opinion...
Sauf que les sportifs sont également très à risque.
Ils suent ensemble ou l'un contre l'autre, partagent chambres d'hôtels, vols d'avions (des incubateurs à maladies s'il en est), toilettes plubliques, douches, bouteilles d'eau ou des Gatorade et travaillent dans des espaces restreints. Et dans leur temps libres, de jour, visitent des enfants malades dans des hopitaux et, de par leur statut social, le soir, ensorcellent nos jolies demoiselles dans les bars.
Dans le seul but de sauver les enfants malades et les jeunes femmes à la cuisse légère qui, elles, pourrainet ensuite contaminer moult musiciens et quelques saoulons ici et là, les joueurs de hockey doivent absolument passer en premier.
Bon, on dira qu'ils seraient ainsi privilégiés parce qu'ils sont riches, mais, justement, puisqu'ils sont riches, ils sont aussi plus taxés et imposés que le commun des chômeurs - et paient ainsi plus que leur part des effectifs médicaux.
Donnez-leur une centaine de doses et laissez leurs médecins (ceux que les équipes professionnelles paient à grands coûts) les leur administrer - on ne nuira ainsi donc pas au système, puisqu'on garderait les médecins québécois et les infirmières pour le grand public, tout en protégeant la santé de nos héros sur patins.
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