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vendredi 5 août 2011
Lagacé Contre-Attaque
Il m'arrive de critiquer Patrick Lagacé - journaliste à La Presse et co-animateur des Francs-Tireurs - pour ses positions idéalistes et idéalisantes à propos de la société dans laquelle on vit, qui, pour lui, abrite plus de bonnes personnes que de mauvaises, et que la proportion de malfaiteurs diminue au fur et à mesure qu'on grimpe les échelons des emplois dits honorables, tels que les policiers, soldats et politiciens. Et journalistes.
Toujours est-il qu'il nous a prouvé, dans un post de blogue hier, qu'il comprend exactement le rôle qu'est supposée jouer la presse dans notre société: celle de démasquer la vérité des clichés de notre monde et de la communiquer au petit peuple.
Les journalistes Américains se réveillent à peine d'une époque (un bon 10 à 15 ans) où ils ont été trop complaisants avec leurs élus, les firmes de bullshittage (relations publiques) et les grandes compagnies, avalant trop souvent les phrases vides et les mensonges pour aider l'État à justifier des dépenses folles ou des guerres injustifiées (qu'on pense au président Bush II et sa guerre en Irak) ou même pour copier-coller des communiqués de presse et prétendre qu'un simple lancement d'album, de film, de voiture ou de shampooing est une nouvelle digne de se retrouver en page fronticipice.
Sans parler des journaux à potins de style News Of The World et National Enquirer...
Le beau Patrick est même allé au front pour défendre un de ses collègues qui s'était fait tasser par un ministre et son équipe en posant une question qui les troublait. Dans ces moments-là, rien d'autre à faire que d'applaudir.
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samedi 11 juin 2011
Lagacé Commence À... M'Agacer
Patrick Lagacé, de La Presse, se lance ce matin encore à la défense de ceux qui ne peuvent se défendre eux-mêmes, c'est-à-dire les policiers qui tuent des civils dans le cadre de leur emploi.
Après sa prise de position relativement comprenable dans le cas de Freddy Villanuova, ce ''jeune criminel de Montréal-Nord'', le voici ce matin qu'il défend les quatre policiers qui ont tué, mardi matin dernier, un itinérant qui se battait avec un sac de poubelles et un passant, qui ne faisait que se présenter au travail (un employé de l'hôpital Saint-Luc - j'imagine que Stephen Harper et Jean Charest vont appeler ça de la création d'emploi).
Trois balles ont été tirées, deux sur le sans-abris, une sur le passant. Alors que l'arme à feu ne doit être utilisée qu'en dernier recours.
Encore une fois, je suis issu d'une famille qui a incorporé le métier de policier (et de militaire) dans son arbre généalogique, pas un ado anarchiste anti-McDo. Dans tous les corps policiers (SQ, SPVM, GRC) qui les ont employés, jamais un d'eux ne s'est retrouvé dans une situation où la force fatale n'a été utilisée sans être le dernier recours. Même pour le sergent qui oeuvre dans St-Léonard et Montréal-Nord et doit faire face à une guerre de mafieux et de gangs de rue à tous les jours.
Il y a moyen de le faire.
Lagacé, absurde comme lui seul en est capable, y est allé de cette allégorie:
Après sa prise de position relativement comprenable dans le cas de Freddy Villanuova, ce ''jeune criminel de Montréal-Nord'', le voici ce matin qu'il défend les quatre policiers qui ont tué, mardi matin dernier, un itinérant qui se battait avec un sac de poubelles et un passant, qui ne faisait que se présenter au travail (un employé de l'hôpital Saint-Luc - j'imagine que Stephen Harper et Jean Charest vont appeler ça de la création d'emploi).
Trois balles ont été tirées, deux sur le sans-abris, une sur le passant. Alors que l'arme à feu ne doit être utilisée qu'en dernier recours.
Encore une fois, je suis issu d'une famille qui a incorporé le métier de policier (et de militaire) dans son arbre généalogique, pas un ado anarchiste anti-McDo. Dans tous les corps policiers (SQ, SPVM, GRC) qui les ont employés, jamais un d'eux ne s'est retrouvé dans une situation où la force fatale n'a été utilisée sans être le dernier recours. Même pour le sergent qui oeuvre dans St-Léonard et Montréal-Nord et doit faire face à une guerre de mafieux et de gangs de rue à tous les jours.
Il y a moyen de le faire.
Lagacé, absurde comme lui seul en est capable, y est allé de cette allégorie:
Dans un film américain, Bruce Willis aurait pris la situation en main. Hop, une prise de judo. Hop, une balle dans la jambe. Mais nous ne sommes pas dans un film américain. Nous sommes dans la vraie vie, dans une grande ville nord-américaine.
Le flic nord-américain ne tirera pas une balle dans la jambe de Mario Hamel, en ce mardi matin. Il n'est pas entraîné pour cela. Il est entraîné à tirer au milieu du corps. Il est entraîné à tirer pour tuer.Si c'est vrai, alors incorporons-donc quelques cours sinon d'arts martiaux alors d'auto-défense de base de style ''un homme contre un homme et son couteau'', le genre de cours qu'un doorman de bar trouve le moyen de terminer en deux semaines, de soir, entre des quarts de travail sur Crescent ou Ste-Catherine où il doit, justement, faire face à des épais armés en état d'ébriété presque chaque soir, sans jamais en tuer un et - plus important encore - sans jamais mourir lui-même. C'est faisable pour un boeuf de 350 livres qui travaille presque au salaire minimum avec son QI sous-normes, ce devrait l'être dans les écoles de police. Me semble.
samedi 7 novembre 2009
Vacciner Les Hockeyeurs En Priorité...
Salut, Alex.
Je voulais encore une fois parler d'un sujet d'actualité avec toi: vacciner les joueurs de hockey en priorité.
J'en parle sur mon blogue en français, et je vais le citer plus bas, mais je tiens à ajouter que moi, je ne m'y soumettrai pas.
Trop de niaiseries dans la liste d'ingrédients inactifs (au nombre de crevettes que je mange par semaine, j'ai ma dose de mercure, merci quand même!), actifs (youppi, un adjuvant, juste quand on sait que cette souche particulière de la grippe aime particulièrement les systèmes immunitaires renforcés!) - sans compter que le vaccin a plutôt été conçu pour la grippe H5N1 (la grippe aviaire, pas porcine, ce qui revient à regarder l'Orange Mécanique au lieu de Peau De Banane), ni qu'il n'a pu bénéficier des 2 à 5 ans habituellement requis de tests avant sa mise en marché.
Oh, et aussi parce que le manufacturier principal, Glaxo-Smith-Klein, ou GSK pour les intimes, est un de mes anciens clients pharmaceutiques chez Head - un christ de croche à part ça, côté éthique.
Tout ça pour mener au sujet du jour.
Comme je le dis dans mon texte, Réjean Tremblay approuve, Patrick Lagacé pas.
Et mes arguments:
Je voulais encore une fois parler d'un sujet d'actualité avec toi: vacciner les joueurs de hockey en priorité.
J'en parle sur mon blogue en français, et je vais le citer plus bas, mais je tiens à ajouter que moi, je ne m'y soumettrai pas.
Trop de niaiseries dans la liste d'ingrédients inactifs (au nombre de crevettes que je mange par semaine, j'ai ma dose de mercure, merci quand même!), actifs (youppi, un adjuvant, juste quand on sait que cette souche particulière de la grippe aime particulièrement les systèmes immunitaires renforcés!) - sans compter que le vaccin a plutôt été conçu pour la grippe H5N1 (la grippe aviaire, pas porcine, ce qui revient à regarder l'Orange Mécanique au lieu de Peau De Banane), ni qu'il n'a pu bénéficier des 2 à 5 ans habituellement requis de tests avant sa mise en marché.
Oh, et aussi parce que le manufacturier principal, Glaxo-Smith-Klein, ou GSK pour les intimes, est un de mes anciens clients pharmaceutiques chez Head - un christ de croche à part ça, côté éthique.
Tout ça pour mener au sujet du jour.
Comme je le dis dans mon texte, Réjean Tremblay approuve, Patrick Lagacé pas.
Et mes arguments:
Les raisons contre, elles sont faciles à trouver: égalités sociales, soigner les plus à risques point-de-vue santé en premier (les enfants, les asthmatiques graves, la veuve et l'orphelin).Curieux de connaître ton opinion...
Sauf que les sportifs sont également très à risque.
Ils suent ensemble ou l'un contre l'autre, partagent chambres d'hôtels, vols d'avions (des incubateurs à maladies s'il en est), toilettes plubliques, douches, bouteilles d'eau ou des Gatorade et travaillent dans des espaces restreints. Et dans leur temps libres, de jour, visitent des enfants malades dans des hopitaux et, de par leur statut social, le soir, ensorcellent nos jolies demoiselles dans les bars.
Dans le seul but de sauver les enfants malades et les jeunes femmes à la cuisse légère qui, elles, pourrainet ensuite contaminer moult musiciens et quelques saoulons ici et là, les joueurs de hockey doivent absolument passer en premier.
Bon, on dira qu'ils seraient ainsi privilégiés parce qu'ils sont riches, mais, justement, puisqu'ils sont riches, ils sont aussi plus taxés et imposés que le commun des chômeurs - et paient ainsi plus que leur part des effectifs médicaux.
Donnez-leur une centaine de doses et laissez leurs médecins (ceux que les équipes professionnelles paient à grands coûts) les leur administrer - on ne nuira ainsi donc pas au système, puisqu'on garderait les médecins québécois et les infirmières pour le grand public, tout en protégeant la santé de nos héros sur patins.
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