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vendredi 11 novembre 2011

Crisse De Caves

Les lecteurs les plus assidus noteront que, récemment, j'ai beaucoup plus souvent répondu à des textes de Marie-Claude Lortie que de Patrick Lagacé.


Les raisons sont fort simples: Lagacé écrit beaucoup moins, et quand il le fait, il écrit moins de conneries. Lortie, elle, écrit des chroniques et des blogues qui font réfléchir. Qui me font réfléchir, du moins, car il semble que la pauvre en endure des vertes et des pas pures.


Sérieux. En 2011. Au Québec.

Sacrament.

On n'est pas sortis du bois.

Notons qu'elle mentionne que ce n'est pas mieux ailleurs; vrai, sauf qu'ici, généralement, je m'étais habitué à ce qu'on soit en avance sur les autres vis-à-vis les droits et le respect de tous: minorités visibles, homosexuels, femmes.

C'est ben beau les jokes de mon'oncle, mais faut montrer que c'est une blague; sinon, on devient le con qu'on imite. Et ça, c'est moins drôle pour tous.

vendredi 4 novembre 2011

Saumon Et Poisons





Dans le même ordre d’idées que ma chronique sur la bouffe du mois dernier, j’ai eu un léger mal de cœur en lisant le texte d’aujourd’hui de Marie-Claude Lortie (oui, encore elle!) qui traite des poisons utilisés par les pisciculteurs éleveurs de saumons, qui tuent les homards et crustacés dans le seul but de nous donner un plus grand nombre de poissons de moins bonne qualité.

Et, puisque ces élevages se font en mer (alors qu’une piscine géante ou, au pire – et le mot ''pire'' y prend ici tout son sens – un lac artificiel aménagé avec un ruisseau qu’ils pourraient remonter pour frayer et renouveler l’espèce ferait autant l’affaire), on pollue l’océan pour une cause, somme toute, assez futile.

En plus de la quantité inimaginable de petits poissons qu’on utilise pour les nourrir.

De quoi se questionner sur la pertinence de manger de ces saumons-là…

mercredi 17 août 2011

Mieux Manger: À Quel Prix?

Marie-Claude Lortie de La Presse demande aujoud'hui dans son blogue si vous seriez prêts à payer le ''vrai'' prix pour mieux manger, question inspirée du fait que les rotisseries St-Hubert ont choisi de nourir leurs poulets de farine animale, pratique qu'ils avaient suspendue pendant la crise de la vache folle.

Voici ma réponse:
Que St-Hubert ait pris cette décision écoeure et déçoit au plus haut point.
Le hic, c'est quand on commence à parler du prix de la nourriture en épicerie.
Parce sortir au St-Hubert, si la différence entre du poulet de bonne qualité et de qualité douteuse n'est que de 40 cents le poulet comme le prétend un de vos lecteurs, il faudrait s'attendre à ce que le restaurant monte le prix de ses quarts d'un dollar, et ses demi-poulets de deux. Et tant qu'à sortir et payer mon assiette 5 dollars, aussi bien la payer 17 pour bien manger.
Mais à l'épicerie, entre manger de la merde pour 100 dollars qui va durer moins d'une semaine ou tripler la facture pour quelque chose de meilleur, je vais être tenté de choisir l'option plus accessible, le prix des autres commodités (loyers à presque 1000$, passe d'autobus à 80, internet, Hydro, etc) primant et privant du véritable choix.
Mais si j'avais à voler de la bouffe, ce serait bio, sans additifs et 100% naturel à tout coup.